Laboratoire de recherche
La problématique du risque par inhalation aux particules dans les laboratoires de recherche est courante. La particularité réside dans une très grande variété de substances (changeant régulièrement au fur et à mesures des projets) ainsi que les faibles quantités manipulées.
La nouveauté des substances a pour effet le manque de connaissance sur les dangers, l’objectif de sécurité se situe alors bien souvent dans une absence totale d’exposition. Les technologies PARTICLEVER permettent de le vérifier.
Certains événements ou expériences particulières imposent aux laboratoires à travailler de façon temporaire avec une stratégie de protection dégradée, PARTICLEVER peut être utilisé pour vérifier dans ce cas que les expositions restent tout de même limitées.
Questions clés
PARTICLEVER a développé des protocoles spécifiques pour pouvoir détecter des quantités infimes de matière. Pour ce qui concerne les particules fines, la sensibilité des analyses réalisées au microscope électronique est très basse et peut atteindre une concentration équivalente à la limite d’exposition réglementaire à l’amiante (0,01 fibres par cm3).
Le risque d’exposition des travailleurs lors d’applications industrielles futures nécessite dans certains cas d’être étudié dès la phase recherche. C’est une cause potentielle d’échec de projet à elle seule et elle ne doit pas être négligée. Bien qu’à petite échelle, des mesures sur les particules émises par les sources (procédés ou manipulations) sont une information exploitable et intéressante à fournir, particulièrement si le niveau de danger de la substance est élevé.