Service de santé au travail
Le risque particulaire est un risque chimique auquel de nombreuses entreprises sont confrontées. Hormis dans le cas de simples poussières ou d’autres polluants déjà bien codifiés, le médecin du travail et les ingénieurs de prévention sont souvent démunis pour aider l’entreprise dans une évaluation précise du risque et la mise en place de stratégies adaptées.
Grâce aux technologies apportées par PARTICLEVER, les services de santé au travail peuvent disposer d’outils simples d’utilisation et de haut niveau scientifique pour comprendre, détecter et mesurer les risques particulaires. En particulier elles vont permettre l’identification de dangers spécifiques (d’origine chimique comme les métaux ou morphologique comme les nanoparticules ou les fibres).
L’utilisation « prêt à l’emploi » des cassettes de prélèvements permet de lancer immédiatement une démarche de repérage sur site. S’il y a un doute sur l’identification du risque ou les niveaux d’exposition, une simple mesure de quelques minutes peut renseigner.
L’Échantillonneur PARTICLEVER a sa place dans la mallette de tout ingénieur de prévention des risques professionnels (IPRP) travaillant sur les risques chimiques.
Questions clés
De nombreuses sources d’information sont d’ores et déjà disponibles pour surveiller l’état de l’art international, comme la base de données GESTIS en Allemagne qui indique pour une substance donnée les valeurs limites existantes dans les pays du monde.
Pour ce qui concerne les nanoparticules ou nanomatériaux manufacturés, une approche de classification par bande de danger a fait l’objet d’une norme internationale. Cette approche est applicable dans les grandes lignes à de nombreuses autres substances que les nanoparticules. Des valeurs limites pour les nanomatériaux manufacturés ont été émises dans certains pays comme l’Allemagne, les Etats-Unis ou le Japon.
Voir dans notre dossier sur les nanoparticules : « Comparaison aux valeurs limites »
Un partenariat spécifique est proposé aux services de santé au travail pour faire découvrir la technologie ainsi que pour les aider à travailler sur une thématique particulière. En France, dans le cadre du plan santé travail 3, les services de santé au travail sont ainsi aidés à faire du repérage des expositions vis-à-vis des principaux nanomatériaux.
